Titanic, ou l’art de porter ses bretelles en toutes circonstances
Auteur : Anne-Laure Mattera / 16 avril 2012
Si comme les 6 162 000 téléspectateurs hier soir, vous avez regardé la rediffusion de Titanic sur France 2, cela n’a pu vous échapper. Pour avoir une allure respectable à bord du bateau le plus classe du monde, que vous soyez logé dans la troisième ou en première, des bretelles il faut porter, que ce soit des bretelles fines ou des bretelles larges.
Jack Dawson ne s’y est pas trompé. Pour monter à bord sans même une petite inspection sanitaire : la Mont d’Arbois bien sûr. Mieux vaut être équipé pour affronter des icebergs comme les glaciers.

Une fois à bord, nonobstant un malentendu avec Caleon Nathan à propos d’une TS de la part de sa fiancée Rose, son secours, avec les Mont d’Arbois bien boutonnées, lui a valu une invitation à diner. Il a alors pu sortir le grand jeu, et mettre en avant le modèle phare : Encre de Chine. Grâce à elle, contrairement à ce bon vieux Cal qui malgré sa fortune n’a pas le même talent, notre héros pourra repartir avec la belle Rose et lui conter fleurette.

Malgré les apparences et la disparition du RMS Titanic, Jack arrivera en fait à s’en sortir dignement et se présenter pour la scène finale sous son meilleur jour. C’est là qu’il pourra accueillir sa nouvelle compagne et lui présenter la nouveauté de ce printemps, La Chiné Recyclé.


La rumeur a vite fait le tour de Hollywood et quelques semaines plus tard, on retrouvait notre vedette de Twilight et néanmoins ami, j’ai nommé Robert Pattinson, porter une pâle copie des Bretelles de Léon, car il ne savait pas où Jack s’était procuré les siennes.